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paroles, paroles: janvier 2008
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Quand À petits riens. À petits pas. Dans les chevêtres entortillés de soi. Les fils de trame entremêlés. L’âme sombre vers la noire lumière, engloutie et défaite. Quand Les vagues viennent lécher et laver tes ailes engluées. Quand mon ange, tu t’agenouilles et renais. Et mon corps vibrait.
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paroles, paroles: avril 2008
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Avec ce grain de voix. Qui défie les tempêtes. Cet air de plus rien. Demain n’est que l’écart. Où tremble ma vaillance. Demain est déjà là. Et je déploie mes ailes. Inscription à : Articles (Atom).
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L'exil, comme terre promise...: novembre 2007
http://patsouille.blogspot.com/2007_11_01_archive.html
L'exil, comme terre promise. Puisqu'il faut passer, passons légèrement! Ce matin, en me réveillant, j'ai su qu'il me fallait répondre à cette question. Étrange! La veille, je me disais que l'endroit où l'on va est plus important que celui d'où l'on vient. Histoire de me perdre dans mes propres dédales d'exilée à vie. Cette question (d'où venons-nous) est fondamentale lorsque notre vie a longtemps été faite de départs et d'adieux. Dimanche 25 novembre 2007. L'exil est mon identité. Ce qui revient à di...
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L'exil, comme terre promise...: Adieu, Meuse endormeuse...
http://patsouille.blogspot.com/2007/12/adieu-meuse-endormeuse.html
L'exil, comme terre promise. Puisqu'il faut passer, passons légèrement! Ce matin, en me réveillant, j'ai su qu'il me fallait répondre à cette question. Étrange! La veille, je me disais que l'endroit où l'on va est plus important que celui d'où l'on vient. Histoire de me perdre dans mes propres dédales d'exilée à vie. Cette question (d'où venons-nous) est fondamentale lorsque notre vie a longtemps été faite de départs et d'adieux. Jeudi 6 décembre 2007. Adieu, Meuse endormeuse. J'ai vécu une très belle ex...
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paroles, paroles: Passage
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Avec ce grain de voix. Qui défie les tempêtes. Cet air de plus rien. Demain n’est que l’écart. Où tremble ma vaillance. Demain est déjà là. Et je déploie mes ailes. Inscription à : Publier les commentaires (Atom).
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paroles, paroles: Effet papillon
http://parolesmoi.blogspot.com/2008/01/effet-papillon.html
Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Dans ma vie, pointillée. Tu dessines la découpe. Sans connaitre, mon amour. Où tu crois me saisir, déjà je suis ailleurs. 171; Let’s dance to the sky c’était ce que je criais. 171; let’s dance to the universe , un soir où je pleurais. Tu as brulé les phalènes sur la banquise.
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paroles, paroles: Césure
http://parolesmoi.blogspot.com/2008/02/csure.html
Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Les voix portant le dire. L’être se recueille. Aux soleils de l’enfance. Revient la note claire. Que chevauche la joie. Inscription à : Publier les commentaires (Atom).
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paroles, paroles: mars 2008
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Quelques soient les fleurs de mot. De nos arbres à pain inscrites. L’ombre portée à la lumière. Alors, mon ami, mon frère,. Et porte ton souffle. Aux écumes du monde. Toi, dans l'onde qui te définit, sois le sel de la vie! Inscription à : Articles (Atom).
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paroles, paroles: février 2008
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Dans les veines du temps. Coule ce laiteux du couchant. Qui baigne les montagnes. Dans mon cœur, nostalgie. Passent les chants et les lais. De leur ample manège. Mon cœur s’est saisi. Ainsi va la vacance. Creusé à même la chair. Le puits respire tel un gouffre. Mon cœur dans le silence.
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paroles, paroles: novembre 2007
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Dans la fureur du monde et son immensité. Sa beauté, sa folie. Petit filet de l’âme à nourrir les cours d’eau, les rivières. Soirée au bord du net où crépitent les flammes. Cette création est mise à disposition sous un. Je t'aime, tes yeux Groenland rivés sur la dernière terre d’avant la fonte. Ta peau de lait qui frissonne et s'expose au froid. Ta voix qui teinte loin dans les étendues neigeuses. Et me ramène à toi. Toi, qui marque mon nord,. Et dont les moindres gestes se répercutent.
